Clone Aéroporté
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Formés sur la planète océanique Kamino, les Clones Aéroportés de la Grande Armée de la République étaient réputés pour mener des missions risquées que le Commando de Reconnaisse Avancée de classe Null Ordo se plaisait à appeler « recherches d'affirmation au sol ». Lorsque les fantassins étaient par exemple incapables de prendre une position ennemie en lançant une offensive directe, il était préférable de recourir à ces éléments parfaitement entraînés à sauter en haute altitude depuis un vaisseau stationné dans l'atmosphère d'un monde. Une attaque surprise par les cieux pouvait assurément déstabiliser les troupes automatisées de la Confédération des Systèmes Indépendants dotées de capacités d'adaptation assez limitées. Du fait de ce mode opératoire particulier, ils bénéficiaient bien évidemment d'un équipement approprié.
Ainsi, chaque soldat possédait une armure nettement améliorée. Outre la présence d'un Kama au niveau de la taille, le casque arrondi, dont la visière faisait penser à celle des pilotes de Moto-Jets BARC du 91ème Corps de Reconnaissance du Commandant Neyo, arborait un équipement respiratoire avancé pour faciliter la circulation de l'oxygène dans les poumons lors d'un saut conséquent. Afin de mettre un terme au moment propice à la chute libre, les paras pouvaient utiliser des répulseurs ou bien encore un paquetage ailé. Environ quatre cent soixante-dix jours après la Bataille de Geonosis, le Sergent Barlex de l'Escouade Parjai équipa dans le hangar du Core Conveyor quatre membres de la Brigade des Opérations Spéciales, à savoir Niner, Darman, Fi et Atin, avec ce second dispositif pour leur permettre de rejoindre discrètement par la voie des airs la surface de Gaftikar de façon à aider A'den et les rebelles Marits à renverser le gouvernement humain local affilié aux Séparatistes.
Lorsque l'affrontement devenait inévitable sur la terre ferme, ils utilisaient au choix, à l'instar de leurs frères, les traditionnels blasters DC-15, DC-15s et DC-17 de BlasTech Industries. Par ailleurs, il portait apparemment également quelques explosifs cylindriques en bandoulière. Il est important de noter que la Seconde Compagnie Aéroportée du 212ème Bataillon d'Attaque du 7ème Corps Aéroporté du Commandant Maréchal Cody, qui s'illustra notamment lors de la Bataille d'Utapau, était une unité uniquement composée de ces courageux soldats d'élite.