Kit Fisto, général de la Grande Armée de la République, remporta une brillante victoire sur la Ligue d'Isolation Quarren ralliée à l'Alliance Séparatiste. Le Grand Maître Yoda le contacta peu après, lui demandant s'il si la capture des leaders Quarrens avait eu lieu. Fisto répondit par l'affirmative, l'informant qu'il avait par la même occasion détruit le centre de commandement, n'empêchant malheureusement pas les amphibiens de continuer le combat. Pour le Nautolan, la bête Séparatiste avait plus d'une tête. Yoda lui ordonna de chercher la vérité et de capturer le véritable leader de la résistance. Le Jedi acquiesça et se proposa d'aller mener son enquête dans les profondeurs de Mon Calamari où se terrait la vie. Après que la communication ait été coupée, Kit ordonna à ses Clones SCUBA de continuer à protéger les lignes de ravitaillement Mon Cal tandis qu'il tenterait de trouver le Centre de Commandement n°12.

Dans l'installation, un soldat Quarren annonça à son supérieur que leurs cinq postes avancés dans les mers de Mon Calamari avaient été détruits. Il s'inquiétait du fait que les Mon Calamari puissent faire tomber la dernière base. Le leader repoussa cependant le dernier argument de son lieutenant en révélant que les dernières transmissions captées n'indiquaient pas de prochaines attaques mais plutôt un statut quo. C'est alors qu'en se tournant vers la verrière donnant sur les abysses des mers de Mon Calamari, il vit le Jedi Kit Fisto se jeter dessus et la briser d'un revers de Sabrelaser. Les gardes ne parvinrent pas à l'arrêter. Tandis que le centre se remplissait d'eau salée, le Jedi se saisit du chef Quarrens par ses mandibules et l'interrogea afin qu'il le mène à leur leader. Ce dernier répondit qu'il ne pouvait pas parce qu'il ne savait pas qui il était. Le Nautolan lui demanda alors d'où venaient ses ordres. Le Quarren répondit qu'Ils leur parlaient dans leurs têtes. Kit Fisto en déduisit donc qu'il s'agissait d'une créature télépathique et se lança à sa recherche.

Interrogeant l'un des Loyalistes Mon Calamari sur les éventuels pouvoirs télépathiques des Mon Cal ou des Quarrens, une réponse négative lui révéla ce qu'il savait déjà. Arrivant dans les fonds marins, il découvrit d'étranges méduses phosphorescentes qui lui firent penser qu'il avait échoué dans l'une des colonies. Son contact Mon Cal lui révéla qu'on les appelait Moappa et qu'ils étaient des organismes primitifs et inoffensifs. Cependant, lorsque le Maître Jedi en toucha une, cette dernière s'accrocha à son bras, puis une deuxième, puis une troisième, et enfin une sur sa bouche pour l'empêcher de respirer et de parler. C'est alors que les Moappa s'assemblèrent pour créer une sorte de silhouette humaine qui lui parla via télépathie. Fisto tenta d'attaquer les méduses d'un coup de Sabrelaser, mais le monstre sous-marin lui révéla qu'il était plus rapide qu'il ne pourrait jamais l'être. Un coup de Sabrelaser ne changerait donc rien et chaque méduse retrouvait sa place dans le corps du monstre.

Kit Fisto demanda au monstre pourquoi il aidait les Séparatistes. Ce dernier répondit que c'était pour chasser les Mon Calamari qui se croyaient sur leur planète, alors qu'elle était la leur. Le monstre se sépara alors en plusieurs vagues de méduses qui entourèrent le Jedi. Il se crut prit au piège mais c'est alors qu'il utilisa son talent : la modification de l'eau en vue d'en faire une arme. Rassemblant la Force dans ses poings, il réunit ses derniers pour en faire un grand canon et tirer sur les méduses. Il sentit le monstre crier dans sa tête mais n'en tint pas compte : c'était lui ou le Jedi. Pendant qu'il continuait de tirer l'eau sur les méduses, il contacta les Mon Cal pour qu'ils viennent le chercher à la surface.

Peu de temps après, il parvint à monter à bord du bateau et les Mon Calamari lui demandèrent s'il les avait détruit. Kit Fisto répondit par la négative, signalant que ses pouvoirs n'avaient permis que de les disperser pendant quelques heures : les millions de Moappa ne seraient jamais arrêtées, à moins que les Mon Cal, des diplomates dans l'âme, puissent parvenir à un accord pour que les trois espèces vivent en harmonie avec les courants océaniques de la planète.