Super Droïde de Combat B2
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- Super Droïde de Combat B2
- B2
- 1m91
- Récepteur de signal amélioré
- Canon laser intégré
Après l'échec du test de l'armée droïde de la Fédération du Commerce lors de la bataille de Naboo en 32 avant la Bataille de Yavin, se posa la question des améliorations. Le sujet principal de ces modifications était le Droïde de Combat standard. Les officiels de la Fédération savaient que, malgré un coût de production réduit et une conséquente économie d'espace en mode passif, le droïde ne valait pas grand chose face au feu ennemi. Un simple rayon laser, ou bien la poussée mentale d'un Jedi, pouvait éliminer un droïde standard. Une autre préoccupation fut le manque d'indépendance du droïde. Quand le vaisseau de contrôle fut détruit à Naboo, l'armée entière qui avait débarqué sur la planète fut anéantie. La Fédération demanda qu'on construise un droïde plus fort, mieux équipé, doté d'un blindage plus résistant et d'un certain degré d'autonomie.
Le résultat fut le super droïde de combat (SDC), qui démarra sa carrière lors de la Bataille de Géonosis en 22 avant la Bataille de Yavin. Conservant la plupart des circuits élémentaires et des systèmes interne du droïde standard, les fonderies Géonosiennes créèrent un super modèle qui s'avéra beaucoup plus redoutable que son prédécesseur. Des parties de sa coque extérieure furent réalisées en acertron, alliage capable de résister aux rayons des armes de poing. Cependant, un coup bien placé pouvait endommager un SDC. Padmé Amidala, par exemple, parvint à amputer le bras d'un SDC d'un seul tir de pistolet blaster. Le section la mieux équipé du SDC était la poitrine, qui contenait le récepteur de signal, le module cognitif et l'unité énergétique principale. Cette surcharge élevée créait un déséquilibre qui était compensé par une programmation spéciale des algorithmes de mouvement. La silhouette du SDC fut dessinée à partir d'éléments en fuseaux, ceci afin d'offrir le moins de surface de cible possible lorsque le droïde avançait face à un ennemi. L'arme principale du SDC était un fusil blaster à double canon installé dans son bras droit. Il pouvait tirer des coups indépendants ou bien décocher des rafales rapides d'énergie au laser. Son emploi obligeait le SDC à pointer son bras vers sa cible, ce impliquait qu'il ne disposait pas de son bras gauche pour gérer les obstacle se présentant sur le champs de bataille. Les mains aggravants et les membres profilés du SDC pouvaient également servir d'arme en combat rapproché. Les semelles amovibles du SDC pouvaient être remplacées par des accessoires adaptés aux différents types de terrain, comme des griffes d'escalades ou bien des éléments de flottaison.
A la demande de la Fédération du Commerce, le super droïde de combat était doté d'un degré limité d'indépendance. Le SDC était programmé avec des procédures de combat élémentaire qui lui permettaient d'avancer sur un champ de bataille et de se battre jusqu'à ce que toutes les cibles ennemies soient neutralisées. Cependant, ses processeurs ne l'autorisaient pas à développer de nouvelles tactiques ou bien à prendre d'importantes décisions. La procédure de combat standard, utilisée par exemple contre les Jedi et l'armée des clones de Géonosis, stipulait que les SDC devraient ouvrir le passage et couvrir les droïdes de combat traditionnels. Les SDC devaient encaisser les tirs ennemis et riposter avec leurs canons laser pour ouvrir des brèches. Cette tactique rudimentaire représentait la limite des informations traitées par les processeurs du SDC.
Parfois, cette tendance à progresser coûte que coûte entraînait les SDC à endommager, ou à détruire, leurs propres alliés de l'Armée Séparatiste dans le seul but d'investir une position. Dans la mêlée, cependant, les SDC revenaient à leur programmation de base et arpentaient le terrain à la recherche de nouvelles cibles à détruire. Ils agissaient ainsi jusqu'à ce que tous les SDC soient éliminés, qu'on leur donne de nouveaux ordres, ou bien que l'ennemi soit totalement anéanti.
Références
- Star Wars Les Dossiers Officiels , 2002