La méditation de combat était une technique très évoluée que seuls certains adeptes de la Force étaient capables de réaliser. Bien utilisée, par un Jedi très entrainé, la méditation de combat pouvait faire changer le cours d'une bataille ou d'une guerre et pouvait faire gagner la plus petite armée contre une autre dix fois plus imposante qu'elle.

La technique de la méditation de combat demandait une extrême implication de l'être qui l'exécutait. Elle permettait de connaitre à l'avance le déroulement d'une bataille et son issue dans le tissu complexe de l'avenir visible en la Force. L'utilisateur était alors en mesure d'influencer la bataille afin de la faire tourner à l'avantage de son camp... si la Force le voulait. Concrètement, le Jedi -ou le Sith- qui utilisait cette technique était capable d'absorber le sentiment de victoire du camp adverse pour le redistribuer à ses propres troupes. De la même manière, la méditation absorbait les craintes et la peur de se battre de son camp pour la redistribuer sur le camp adverse. Une méditation de combat pouvait parfois provoquer un dégout du combat au sein du camp adverse et le forcer à déposer les armes.

Nécessitant une concentration extrême, l'adepte de la Force qui était au coeur de la méditation de combat se trouvait souvent en marge des conflits, pour pouvoir visualiser la totalité de la bataille sans crainte d'être dérangé. Il suffisait que l'adepte perde sa concentration pour que tous les effets de la méditation se dissipent. Il était généralement sous bonne garde puisque le camp adverse n'avait de cesse que de chercher à éliminer ou à s'approprier l'adepte à l'origine de la méditation.

Parmi les utilisateurs de cette technique, on peut compter la Padawan Bastila Shan, le Seigneur Sith Kaan durant la Bataille de Ruusan, le Maître Jedi Oppo Rancisis, Jorus C'baoth, comme son clone fou, Joruus C'baoth, et Darth Caedus.