Avec l'augmentation conséquente de l'insécurité créée par la menace permanente d'attentats Séparatistes, ainsi qu'avec la défaite retentissante de la République lors de la Bataille de Jabiim, Palpatine ordonna un projet secret qui installerait sur Coruscant des clones spécialisés, dits les Clones de Choc, selon les techniques d'apprentissage des Kaminoens. Sur la planète-capitale, ils étaient désormais connus de tous les citoyens: ayant pour ordre d'assurer la sécurité de ces derniers, ils protégeaient les bâtiments publics et les lieux de passages (plazzas, spatioports, etc) en soumettant les suspects à des contrôles d'identité et pouvant aussi les mettre en garde à vue s'il s'avérait qu'ils étaient des ennemis potentiels. Néanmoins, ces clones ne répondaient qu'à Palpatine à personne, ainsi qu'au Centre de Sécurité Planétaire, et étaient commandés sur le terrain par le Commandant Thire. Le Sénat Galactique, s'il avait une prise sur les évènements de la Guerre des Clones en décidant de la guerre à mener, n'en avait pas sur ces clones qui passaient pour être la police politique du Chancelier Suprême. Ce furent ces derniers qui arrêtèrent les sénateurs coupables de trahison, ou en en faisaient disparaître discrètement certains qui osaient élever la voix contre le Chancelier, tel Seti Ashgad.

A la fin de la République et après la Proclamation de l'Ordre Nouveau qui instituait l'Empire Galactique, les Clones de choc furent déployés dans le Sénat pour tenter de retrouver le corps du Maître Jedi Yoda, notamment Thire, qui venait d'affronter Darth Sidious. De même, deux d'entre eux accompagnèrent l'Empereur sur Mustafar afin de retrouver le corps de Darth Vader, son nouvel Apprenti Sith, gravement brûlé après son combat contre Obi-Wan Kenobi. Les Clones de choc furent finalement réformés pour devenir les Gardes de Coruscant.