Vingt Egarés
- Encyclopédie
- Éléments Culturels
- Société
- Vingt Egarés
Au cours de toute l'histoire de l'Ordre Jedi, rares ont été les Jedi qui ont volontairement décidé de quitter leur place au sein de l'Ordre. La plupart du temps, les Jedi en question étaient d'anciens Jedi, ayant au moins atteint le rang de Chevalier Jedi et qui décidaient, pour des raisons souvent liées à des différents philosophiques, de rendre leur titre et de retourner à la vie civile. Ces Jedi furent d'abord appelés les Egarés puis les Vingt Egarés, puisqu'ils étaient au nombre de vingt à avoir délibérément quitté leurs fonctions.
Le premier Egaré fut un Jedi Umbarien répondant au nom de Phanius, qui renonça à son titre vers -2 000 avant BY. Phanius avait en réalité été séduit par le Côté Obscur de la Force et devint par la suite Darth Ruin. Lors de son départ, le Conseil des Jedi décida de faire sculpter un buste en bronzium représentant Phanius et de l'exposer dans les Archives du Temple Jedi de Coruscant. Une plaque qui relatait les exploits que Phanius avait effectué au sein de l'Ordre fut également ajoutée pour rappeler à tous la tragédie que représentait le fait de quitter définitivement l'Ordre Jedi et également pour souligner que même les Jedi n'étaient pas infaillibles. Par la suite, dix-neuf autres Jedi se détournèrent volontairement de l'Ordre Jedi. Le dernier d'entre eux fut le Comte Dooku, qui décida officiellement de retourner sur Serenno. Officieusement, il était devenu Darth Tyrannus, l'apprenti de Darth Sidious.
Lorsque Anakin Skywalker chuta du Côté Obscur et qu'il devint Darth Vader, il se considéra comme le vingt-et-unième Egaré.
Les Jedi connus pour avoir fait partie des Vingt Egarés sont :
- Phanius / Darth Ruin
- Le Comte Dooku / Darth Tyranus
- Anakin Skywalker (post-Ordre Jedi)
Les différents bustes sculptés à l'occasion de leurs départs :
Références
- Jedi vs Sith : The Essential Guide To The Force, 2007
- Star Wars: The Clone Wars, 2008
- The New Essential Chronology, 2005
- Star Wars - Tout sur L'Attaque des Clones, 2002