Goure
- Masculin
- Ryn
Goure était un membre d'un réseau uniquement composé de Ryn. Son réseau avait un membre sur chaque planète et ils collectaient les informations afin de combattre des groupes tels que la Brigade de la Paix.
Goure fut affecté à Bakura où dans la cité de Salis D'aar il collecta des informations sous la couverture d'un métier dont personne ne voulait : celui d'éboueur. En +28, alors que les Ssi-ruuks complotaient pour incorporer Bakura à l'impérium Ssi-ruuk, il rencontra la chevalier Jedi Tahiri Veila alors qu'elle fuyait ce que Leia Organa Solo lui avait révélé à propos de Riina Kwaad, l'esprit Vong qui dormait en elle. Ensemble ils s'infiltrèrent avec l'aide d'Arrizza, un Kurtzen ami de Goure, et découvrirent dans un centre de commandement, à travers les holocams placées dans tous les bureaux, que le premier ministre Molierre Cundertol était un traître à la solde des Ssi-ruuks. Suite à cette révélation, Goure décida de rejoindre le premier ministre adjoint Blaine Harris afin de lui révéler la traîtrise. Par malchance, Blaine Harris complotait lui aussi pour prendre le pouvoir. Suite à l'attentat causé par Harris, les Ssi-ruuks consacrèrent la planète et dans la débâcle se mirent à chasser les Bakuriens dans le but de les réduire en esclavages. Goure aida à évacuer les Bakuriens qui étaient pourchassés.
Suite à l'assassinat du Keeramak par Lwothin et à l'arrêt des combats, Goure se retrouva au chevet de Tahiri, qui s'était évanouie après que Riina ait pris le dessus momentanément et qu'elle ait sauvé la plupart des gens du public de l'attentat commandité par Harris ; avec son ami Arrizza il expliqua aux Solo et à leur compagnon qu'il fallait accepter le fait que Tahiri et Riina étaient liées et qu'il fallait qu'ils les aident toutes les deux ou les regardent mourir toutes les deux. Enfin, après qu'il eut fait ces révélations aux Solo, Goure s'éclipsa sans demander son reste en laissant un message disant qu'il était demandé ailleurs et conseillant le groupe de l'Alliance Galactique de se rendre sur Onadax.
Références
- Les Réfugiés, 2003