Foul Moudama était un Jedi musclé et puissant. Il possédait un style de combat au Sabrelaser très fluide et son agilité faisait de lui un excellent combattant, cela malgré sa haute stature. Il avait une acuité visuelle améliorée grâce à ses quatre yeux. La plupart des gens, lorsqu'ils le voyaient, estimaient qu'il s'agissait d'une brute de la pire espèce. En réalité, Foul Moudama était un Talz qui pouvait emmagasiner un maximum de connaissances, dont il n'était jamais rassasié. Il allait souvent à la Bibliothèque Jedi du Temple et avait fait ami ami avec Jocasta Nu par sa présence régulière à la Bibliothèque. Après des années d'études, Foul Moudama avait développé ses sens en accord avec la Force Vivante.

Lors de l'invasion de Coruscant par les Séparatistes, Foul Moudama, en compagnie de Shaak Ti et Roron Corobb, s'occupa d'évacuer Palpatine de sa résidence privée. Grievous pénétra dans la résidence privée et élimina les Soldats Clones et les Gardes du Sénat. Grâce à Corobb, la petite troupe put s'enfuir vers les niveaux inférieurs de Coruscant. C'était Foul Moudama qui s'était chargé de transporter Palpatine dans ses bras. Lorsqu'ils arrivèrent au niveau d'une gare de l'aérotrain de Coruscant, Foul Moudama essaya d'échapper aux gardes Magna de Grievous. L'un d'entre eux suivit Foul Moudama et celui-ci dut le combattre au Sabrelaser, Palpatine toujours entre ses bras. Fort heureusement, Roron Corobb arriva à temps via un aérotrain et détruisit le garde Magna qui menaçait la vie de Foul et de Palpatine.

Après que Shaak Ti ait réussi à faire diversion avec Grievous, ils partirent tous en direction du bunker souterrain du Chancelier Suprême Palpatine. Shaak Ti se chargea des droïdes de Grievous pendant que Foul Moudama et Roron Corobb mettaient Palpatine à l'abri. Mais lorsqu'ils arrivèrent dans le bunker, Grievous les attendait. Les deux Jedi purent maîtriser Grievous, mais celui-ci sortit deux autres bras et s'empara de deux autres sabres. Roron Corobb fut le premier à mourir, puis vint le tour de Foul Moudama, qui s'écroula à côté de son camarade.