Construits par Rendili StarDrive, ces gigantesques docks spatiaux, qui n'en cèdent au niveau de la taille que face aux gigantesques assemblages de Chantiers de Réparation Orbitaux Type II, étaient capables de prendre en charge *simultanément * dans leurs deux "bassins" principaux deux croiseurs Mon Calamari, non moins de trente-deux transports moyens ou vaisseaux capitaux légers le long de leurs bras tubulaires latéraux, et plusieurs dizaines de chasseurs et transports légers dans des hangars intérieurs !

Ces mastodontes présents en orbite haute des planètes spécialisées dans la construction de vaisseaux, comme Sluis Van ou Mon Calamari, emploient non moins de neuf mille cinq cent membres d'équipage, ingénieurs, techniciens et mécaniciens, et sont capables de construire un croiseur Mon Calamari MC80 en seulement quelques mois.

Bien que lourdement blindés et protégés par de puissants boucliers, les Docks Spatiaux de RDS sont désarmés, ce qui les rend dépendants d'un réseau de stations et de plateformes de combat. Ainsi, le dock orbital V-475 de Sluis Van était protégé par des stations de défense Golan I lorsque le Grand Amiral Thrawn lança son assaut visant à s'emparer des vaisseaux de l'alliance à l'aide de taupes minières.