Planète des Mondes du Noyau, Dentaal était située sur la Voie Commercial de Rimma, et était un monde prospère fortement attaché à ses principes. Dirigée depuis des millénaires par les Maisons de Dentaal, un gouverneur impérial, Taliff, fut nommé peu après l'Etablissement du Nouvel Ordre Impérial et ce dernier, dans la vague qui succéda à l'abrogation du Sénat Impérial par l'Empereur Palpatine, décida de mettre un terme aux activités du gouvernement. Les anciens membres de celui-ci répliquèrent par la création du Parti de l'Indépendance qui, dès son premier point de revendications, établissait vouloir en finir avec la présence impériale sur son sol ! Ainsi, le gouverneur fut expulsé et les chefs locaux de la marine et de l'armée firent allégeance au nouveau gouvernement. Le chef des rebelles, Hancc Rellow, affirma tout de même vouloir maintenir des relations cordiales avec le Centre Impérial.

Pour l'Empereur Palpatine, cela allait trop loin : un monde voulant ouvertement faire sécession d'avec l'Empire Galactique au sein même des Mondes du Noyau ! Le chef des Stormcommandos, Crix Madine, accompagné d'une petite équipe de spécialistes, fut chargé d'implanter un échantillon du virus connu sous le nom de Peste Candorienne au cœur même de la capitale, Calif City. Dès les premiers jours, des centaines de milliers de morts furent retrouvés dans les rues ; ce fut bientôt la totalité des dix milliards d'habitants qui furent déclarés morts.

Une bataille de propagande par chaînes du Galaxywide NewsNets interposées s'ensuivit : le membre du Cercle Intérieur Impérial Alec Pradeux déclara à l'Imperial HoloVision que "les laboratoires biochimiques d'Alderaan" étaient responsables de la propagation du virus. De son côté, la Princesse Leia Organa répliqua peu après via le Alderaan Expatriate Network, une chaîne d'informations de l'Alliance Rebelle, que l'Empire Galactique était à l'origine du massacre, et ce sur la base des informations transmises par le même Madine sous le nom de code Lazlo aux Renseignements de l'Alliance suite à sa défection.