Bom Vimdin

Bom Vimdin

Bom Vimdin
Données biographiques
Genre
  • Masculin
Espèce
Taille
  • 1m80
Planète d'origine
  • Riflor
Personnage LégendeBom Vimdin fut un mecrenaire Advozse qui travaillait essentiellement pour l'Empire Galactique.

A la fois mercenaire et contrebandier, Bom Vimdin était un Advozse ayant vu le jour sur Riflor sous l’Ancienne République. Pessimiste de nature, Vimdin vivait le plus souvent reclus, ne faisait confiance à personne et ne respectait que les crédits. La Proclamation de l’Ordre Nouveau et la situation trouble qui s’installa lors de la période impériale permirent à l’Advozse de prospérer. En effet, celui-ci se spécialisait dans les missions qu'offrait l’Empire Galactique, grassement rémunérées. Ainsi, lors de la Fuite sur Tatooine de C-3PO et R2-D2, Bom Vimdin était l’un des nombreux Clients de la Cantina de Chalmun. Il fréquentait l’établissement de jour comme de nuit, même s’il n’y était pas très apprécié. Il s’attablait notamment avec Solomahal, Hem Dazon, Brainiac, Arleil Schous, ou Braconnor Bakiska. Étonnamment, il était l’un des clients les plus coopératifs quand Ackmena demandait à ses habitués de respecter le couvre-feu impérial instauré à la suite de la Bataille de Yavin. Certes, le non-Humain voulait peut-être uniquement se faire bien voir par ses employeurs. Cette stratégie fut payante car à chaque fois qu'il fut arrêté, l'Empire assura sa libération, le considérant comme trop précieux pour être perdu dans une prison de haute sécurité.

Bom Vimdin lors de l'une de ses visites nocturnes à la Cantina

Bom Vimdin lors de l'une de ses visites nocturnes à la Cantina

Après la Bataille d’Endor et la défaite de l'Empereur Palpatine, Bom Vimdin continua de travailler pour le compte des derniers officiels corrompus l'Empire Galactique. Il effectuait notamment le transport d'agents pour des missions sous couverture directement dans l'espace contrôlé par la Nouvelle République. Han Solo, ancien contrebandier devenu héros de l'Alliance Rebelle, le considérait comme l'un des meilleurs dans son métier. Airen Cracken décida donc de mettre sa tête à prix pour 12 000 crédits pour « aide aux forces impériales ».

Références

Beaux Livres
  • Wanted by Cracken, 1993

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